•   L’Express.fr, Par Bruno D. Cot

    vendredi 6 août 2010

    Berceau de l’humanité, le continent africain a souvent été présenté comme celui de l’oralité. Faux. Bien avant l’Europe, des civilisations brillantes y inventaient des systèmes d’écriture parfois encore usités de nos jours

    "En Afrique, quand un vieillard meurt, c’est une bibliothèque qui brûle." Aussi belle et profonde que puisse être la pensée d’Amadou Hampâté Bâ, écrivain malien du siècle passé, elle repose sur un terrible malentendu. Oui, l’Afrique, plus que tout autre, est le continent de l’oralité, mais contrairement à un discours politique convenu - inspiré de plusieurs siècles de colonisation - elle n’est pas sans écriture. Loin de là. Ou, plutôt, au plus loin de l’humanité dont elle est le berceau, l’Afrique, via l’Egypte et la civilisation hiéroglyphique, pourrait bien être aussi à l’origine de la première écriture, avant celle de Mésopotamie (voir L’Express du 14 juillet dernier). "Ethnologues et linguistes ont fait d’extraordinaires avancées ces dernières décennies et, au-delà du cas égyptien, le continent africain a possédé plusieurs systèmes d’écriture antiques du côté du Soudan, de l’Ethiopie et en Afrique du Nord", explique Bertrand Hirsch, le directeur adjoint du Centre d’études des mondes africains (Cemaf). Revue de détail.

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  • En écoute 2 morceaux de Mdou

     

    Si quelqu'un a des infos sur ce musicien, qu'il n'hésite pas à laisser un message sur le blog 

    Tanimert

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  • Atri n Assouf

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  • A l'occasion du festival Afrikabidon, I-Trekkings a interviewé Maurice Freund

    Maurice Freund, Président de la Coopérative de voyageurs Point Afrique.
    Avec passion et militantisme, il aborde sans détour les activités de Point Afrique, Afrikabidon, le campement Tamana et la question du terrorisme dans les zones sahariennes et sahéliennes.

    La première édition d’Afrikabidon a eu lieu en 2007. Trois ans se sont écoulés depuis la nouvelle édition. Qu’est-ce qui explique ce laps de temps ?

    Durant la saison d’hiver 2007 2008 un ensemble d’incidents ont mis en difficulté l’entreprise Point Afrique. Obligation d’arrêt du Niger pour des questions de reprise de la rébellion touarègue, l’incident des 4 français tués en Mauritanie qui va entraîner une réduction de 80% de l’activité sur cet axe et provoquer aussi sur les pays voisins une diminution de 30 M sur l’activité. Au 1er avril 2008 la perte d’exploitation de Point Afrique sur les 6 derniers mois atteint 1 millions 200 000 €. Devant cette situation économique quelque peu difficile, un Festival du type Afrikabidon qui avait couté 650 000 € en 2007, ne pouvait être reconduit. L’entreprise a aussi du licencier près de la moitié de son personnel. ..
    Faire la fête dans cet environnement social n’était pas envisageable !

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  • Rendez-vous au Nord du Niger à l'occasion de la première édition du Festival d'Agadez.

     

    Culture


    Un festival de tourisme culturel, aux portes du Sahara, placé sous le signe de la solidarité !

     

     

     

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