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  • Reporter de France 24, Melissa Bell se trouve au Niger où elle réalise un reportage sur la crise alimentaire qui frappe le pays. Suivez les coulisses du tournage grâce à son carnet de route.

    Les bidonvilles réunissent tellement d'histoires extraordinaires, de malédictions, de destins tragiques et de désespoir qu'ils détiennent souvent la clef qui permet de comprendre la société qui les a oubliés. Toutes les misères d'un pays condensées dans un petit kilomètre carré. Ou, dans le cas de Koira Tegui, deux kilomètres et demi.

    C'est notre deuxième jour à Niamey, et notre deuxième visite dans son principal bidonville. Son chef, un homme responsable de 100 000 âmes, nous fait part de son inquiétude. Des groupes d'hommes et de femmes arrivent tous les jours un peu plus nombreux de la campagne. Tous racontent la même histoire : des champs vides et des arbres dépouillés de tout ce qui pouvait être mangé.

    Le chef nous demande de le suivre sous un soleil de plomb jusqu'à la hutte d'une famille récemment arrivée et composée essentiellement de femmes. Les hommes sont repartis dans leur village, près d’Oualam, à 100 kilomètres de Niamey, dans l'espoir d'une récolte à venir. Les femmes sont assises sur le sol de leur habitation, entourées d'enfants. Elles vivent de la générosité de leurs nouveaux voisins et rêvent de pouvoir rentrer chez elles. Mais la réalité de la campagne les en empêche et les oblige à faire avec la misère de la ville. Rien n'est pire qu'un champ vide. Même pas un bidonville.

    Source : http://www.france24.com

     

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  • La chanson africaine sera présente en force au Mondial 2010, en Afrique du Sud. Selon congoplus.info, la chanteuse béninoise Angélique Kidjo, le duo Malien Amadou et Mariam et les bluesmen du désert Tinariwen partageront la scène avec Shakira et Black Eyed Peas le 11 juin pour le coup d’envoi de ce grand rendez-vous footballistique.

    source :
    http://www.afrik.com

    RDV ce soir à 23h10 sur France 2
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  • Les opérateurs économiques nigériens boycottent depuis lundi le port de Cotonou, au Bénin, par où transite l'essentiel de leur fret, pour protester contre des taxes douanières sur les huiles végétales, a-t-on appris mardi de source syndicale.

    "Le boycott est effectif depuis hier (lundi)", a assuré sur les médias privés Chaïbou Tchombiano, secrétaire général du Syndicat des commerçants importateurs du Niger.

    "Nous avons déjà demandé aux importateurs nigériens d'orienter très rapidement leurs marchandises vers les autres ports" de la région, a-t-il affirmé.

    Les opérateurs nigériens dénoncent une "double taxation" à la suite d'une circulaire de la douane béninoise indiquant que les huiles végétales doivent être désormais dédouanées à Cotonou, alors qu'elles le sont déjà à leur arrivée à Niamey.

    En mai, les Nigériens ont déjà temporairement boudé Cotonou pour protester contre cette mesure. Mais ils étaient revenus sur leur décision après qu'un émissaire dépêché à Niamey par le président béninois Yayi Boni avait donné "des assurances" sur l'annulation de cette mesure, a expliqué Mamane Salah, secrétaire général du Syndicat national des commerçants du Niger (SNCN).

    "Malgré ces assurances, nous constatons que jusqu'à présent rien ne semble augurer du règlement de ce problème", a-t-il déploré.

    Les opérateurs nigériens accusent le Bénin d'imposer des taxes sur les huiles "en violation des règles du commerce international et des conventions internationales privilégiant les pays enclavés comme le Niger".

    Le Niger bénéficie auprès des pays à façade maritime de la sous-région d'un régime de taxes préférentiel, ce qui lui permet d'importer une très grande partie des produits destinés à sa consommation locale.

    Le port de Cotonou est le plus proche de Niamey, à 1.000 km, mais il a souvent été boudé par les Nigériens, en raison notamment de mesures douanières.

    AFP

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  • La compagnie aérienne Nigériane Max Air, a décidé d’étendre ses activités au Niger en vue d’assurer la desserte entre Niamey et les principales villes nigérianes ainsi que le transport de pèlerins pour l’Arabie Saoudite. Des discussions ont été menées avec les autorités nigériennes pour ouvrir une ligne qui « aura également pour mérite de consolider les relations entre le Niger et le Nigeria », deux pays qui partagent plus de 1000 km de frontières terrestres,

    affirmé à Ouestafnews Elhadj Nabangui, patron d’une agence de voyage au Niger et partenaire des la compagnie.
    Depuis la disparition de la compagnie multinationale « Air Afrique », Niamey n’est que très modestement desservi par les vols internationaux, ce qui renforce l’état d’enclavement du pays.
    Avant Max Air, une autre compagnie nigériane Arik Air s’était lancé en en 2009 sur le marché nigérien avec ses premiers vols commerciaux entre Niamey et les différentes villes du Nigeria ainsi que des liaisons à l’intérieur du Niger, après que le gouvernement nigérien lui a accordé fin 2008 un régime préférentiel d’investissement.
    Mais quelques mois après le lancement de ses opérations, Arik Air avait décidé de la suspension « jusqu’à nouvel ordre » de tous ses vols à destination du Niger, officiellement en raison de la situation politique qui prévalait dans ce pays, suspendu des instances de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest.

    Source :
    http://www.ouestaf.com

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