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    ::Article de la rédaction de Koaci.com au Niger::

    Les éleveurs Nigériens mettront plusieurs années à se remettre de la perte de leur bétail décimé cette année par la crise alimentaire née de la mauvaise campagne agro-pastorale 2009. Des bœufs, des moutons et des chèvres ont péri dans les six des huit régions du Niger.
    « C’est un cimetière d’animaux qu’on rencontre dans plusieurs zones pastorales du pays », a témoigné El hadji Moussa, membre de la plate forme paysanne du Niger. « L’aliment bétail avait beaucoup manqué et les éleveurs ont assisté impuissamment à la mort de leurs animaux », a-t-il ajouté.

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  • Depuis un certain temps les parents d'élèves sont les seuls responsables de l'éducation de leurs enfants. Ils sont en effet chargés de payer tous ceux dont a besoin ces enfants pour une rentrée scolaire modeste. Depuis que l'Etat nigérien ne s'occupe plus de l'école et de l'éducation scolaire (comme avant) les parents l'ont remplacé.

    Après l'achat de cartables et autres consorts  nos chers parents payent en moyenne tous les mois pour ne pas dire toutes les semaines (selon les écoles)des cotisations soit disant pour payer les crayons de couleur ou pour clôturer la cour de l'école. Beaucoup des voies et moyens sont inventés dans assez de pays africains pour exploiter les parents d'élève au moment où la qualité des écoles africaines et les enseignements dispensés ne répondent plus aux exigences du moments. Cette année les parents auront beaucoup à faire. Le mois de carême est très couteux. Et sa fin coïncide avec la rentrée des classes à Tahoua. Après les dépenses pour la fête de Ramadan, il faut en plus faire un autre budget pour la dépense de cette rentrée. Du paiement des frais d'inscription pour les ceux qui ont leurs enfants dans les établissements privés. Il faut encore vendre les produits des cultures pour les parents ruraux afin de faire voyager leurs enfants qui fréquentent les collèges urbains. Ces parents font beaucoup de sacrifices il faut le reconnaitre. Mais reste à savoir s'il profitent bien de ces sacrifices dans un pays comme le Niger ou plus de la moitié de ses diplômés sont au chômage? Mais quelle est le rôle des forums sur l'éducation organisé ça et là?

    Source : Blog de Babanguida Computer Plus

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  • Aujourd’hui, dans les écoles primaires, secondaires du 1er cycle et centres de formation professionnelle technique et d’alphabétisation...

    Écrit par Dubois Touraoua (Le Sahel du Lundi 4 octobre 2010)   
    Lundi, 04 Octobre 2010 19:50

    La rentree scolaire au titre de l'annee 2010-2011 s'effectue aujourd'hui dans notre pays. A cette occasion, la ministre de l’Education Nationale, présidente du Conseil national de l’éducation Mme Sidibé Fadjimata Mamane Djoula, a livré un important message dans lequel elle a dit que cette année, ce sont 500 000 nouveaux inscrits au CI et plus de cent mille en classe de 6ème qui prendront le chemin des écoles primaires et secondaires du 1er cycle ainsi que des centres de formation professionnelle technique et d’alphabétisation. Le second cycle du secondaire a déjà effectué sa rentrée depuis le 13 septembre dernier.

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    Face aux chocs et aux incertitudes structurelles au Sahel, l’élevage transhumant a prouvé sa résilience au moyen de stratégies traditionnelles : mobilité et diversification. Aujourd’hui, 25 % des exploitations du Ferlo utilisent de la main-d’œuvre salariée, réorganisant les tâches habituellement pratiquées à l’échelle familiale. Cet article aborde le salariat comme une stratégie qui répond aux incertitudes internes (disponibilité de main-d’œuvre) et externes (diversification des espèces et rareté des ressources naturelles) et contribue à la gestion continue du troupeau, pilier central de la sécurité alimentaire.

    Voir en ligne : http://www.jle.com/fr/revues/agro_b...

    Source :

    Culture


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  • Tous les élèves ont en principe repris le chemin de l'école dans notre pays. Ceux du cycle secondaire sont eux sur les bancs de l'école depuis le 13 septembre. C'est dire que depuis cette date, la balle est dans le camp des parents chargés de leur acheter les fournitures nécessaires pour entamer l'année dans de meilleures conditions.

    A la veille de la rentrée scolaire des élèves des cycles moyens et de base, on remarque qu'il règne une certaine effervescence, particulièrement dans ce qu'on appelle couramment les librairies par terre. Ils sont  en effet nombreux les parents d'élèves qui choisissent ces endroits pour acheter cahiers, livres, ensembles géométriques,  gourdes, sacs au dos à leurs enfants. Il semble que dans ces librairies, les prix sont tout simplement abordables. En tout cas, cette année, les prix des fournitures sur les «marchés noirs »  restent, selon certains parents, inchangés par rapport à  l'année dernière.

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