• Culture

     

     

     

     

     

     

    Le réalisateur Jean-Pierre Valentin sillonne le Sahara depuis près de trente ans. Ethnographe passionné par les communautés nomades, il parcourt ces espaces afin de témoigner de l’incroyable adaptation des éleveurs à ces milieux arides.

    Après avoir traversé le Ténéré avec des caravaniers touaregs, dont il présenta le film l’année dernière à la MJC de l’Héritan, il revient avec un nouveau documentaire sur le quotidien des Wodaabe. Ces pasteurs arpentent sans relâche un vaste territoire avec leurs bêtes qui sont leur moyen de survie.

    À Niamey, capitale du Niger et siège d’associations dynamiques, les rencontres de Jean-Pierre Valentin font s’interroger sur l’avenir de ces nomades. Le réchauffement climatique et l’accroissement des zones agricoles fragilisent la pérennité d’un mode de vie fascinant à voir les 16, 17 et 18 janvier à la MJC de l’Héritan, en partenariat avec l’Asel 71.

    M.-A. du Fornel (CLP)

    Source : www.lejsl.com

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  • En période de froid, le marché de Wadata, très sollicité est une référence dans la ville de Niamey. Blousons, manteaux, ensembles pantalons et chemises pour enfant ou adulte. Et, les femmes sont les plus  nombreuses dans ce marché parce que très soucieuses de protéger leurs progénitures. Ce que confirme  M. Sadou Ibrahim, vendeur de Kagoul, chaussettes et vêtements contre le froid pour les enfants.

    Normal direz vous car, il y a toujours des maladies liées à cette  période de froid. Et les enfants en sont les principales victimes. Selon Mme Souleymane Ramatou, ‘'les habits sont vraiment disponibles sur le marché même s'ils sont chers. Mais la santé n'a pas de prix. Pour cela, nos enfants ont besoin d'une bonne protection pour éviter certaines maladies comme le rhume,  la bronchite, les problèmes  et d'autres infections  respiratoires qui font souffrir ces êtres fragiles''. Elle a aussi indiqué qu'avec  2000 ou 3000F, on peut  vêtir son enfant''. 

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  • Actualités

    L'association Tedhil présente ses meilleurs voeux pour 2011 à ses adhérents et à tous les visiteurs de ce blog.

    Tanimert - Mun Gode - Ir Sabu- Choukran - Merci - Thanks

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  • Tamanrasset abritera du 11 au 17 du mois en cours la 2e édition du Festival international des arts de l’Ahaggar. La manifestation sera marquée surtout par des  journées d’étude autour de la problématique du patrimoine culturel saharien en rapport avec l’environnement naturel. Selon M. Farid Ighilahriz, directeur de l’Office du parc national de l’Ahaggar et commissaire de la manifestation, ayant animé  une conférence de presse avant-hier au forum d’«El Moujahid»; cette  manifestation culturelle et scientifique verra la participation des scientifiques spécialistes ainsi que d’autres personnalités passionnées du Sahara. Au programme, M.Ighilahriz précisera trois journées d’étude qui porteront sur la thématique du patrimoine culturel en rapport  avec  l’environnement naturel. Les thèmes qui seront débattus au cours de cette manifestation s’articuleront autour de l’art  et la culture sahariens algériens et africains. Au menu des conférences ayant pour thème «Approche méthodologique du parc de l’Aïr Ténéré (nord du Niger)», «La  gestion des ressources génétiques en relation avec le savoir-faire ancestral», 

    «L’anthropologie historique et des techniques au service de la préservation  des patrimoines et de la médiation culturelle», «Le savoir-faire des femmes  sédentaires dans le Tassili N’Ajjer». La musique comme un reflet culturel de la nature saharienne  serait l’arrière fond du festival durant sept nuits musicales animées par plusieurs artistes nationaux représentant le Sahara central et la région de l’Ahaggar à titre particulier. Parmi les figures artistiques qui seront au rendez-vous pour animer les nuits de Tamanrasset, on citera notamment la voix au rythme du rock et musique malienne du couple  Amadou et Mariam, le duo de l’amour et de la musique, ayant l’habitude d’endiabler le public  partout où il passe et ayant en plus de plusieurs figures phares de la chanson du désert à l‘image de Vieux Farka Touré, Bambino, Diblo Dibala, Badi Lalla, Joe Batouri et les Ishumar. Outre la musique, d’autres espaces seront également réservés aux ateliers d’art : vannerie, bijouterie, travail de cuir et seront exposés au grand public. Selon les organisateurs, des spécialistes et artistes  animeront des ateliers  portant sur les contes et les légendes, l’expression corporelle et la danse traditionnelle, l’architecture de terre et l’astronomie. A propos d’atelier des contes et légendes, le commissaire du festival, M. Ighilahriz, a tenu à souligner que cet atelier comprend un concours national d’écriture  ayant pour thème «Le patrimoine culturel et environnement naturel». Ouvert au jeune public âgé de moins de 16 ans et à un public adulte. Ledit concours aurait comme ambition  de restituer le patrimoine et d’inciter les connaissances des participants intéressés à mettre en évidence leurs connaissances en matière de patrimoine culturel oral et de l’authenticité.

    Par Yasmine Ayadi

    Journal : Le Jour d'Algérie
    édition : Me, 2011-01-05
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  • Cette position peu enviable qu’occupe la région de Maradi, était déjà connue à la suite de l’enquête nationale sur le budget et de la consommation des ménages réalisée par l’institut national de la statistique en 2008. Voilà qu’elle vient à nouveau d’être confirmée le 22 décembre dernier, à l’occasion de la conférence débat organisée par L’INS sur le thème « la situation des objectifs du millénaires pour le développement et les déterminants de la pauvreté dans la région de Maradi »

    Cette situation semble paradoxale pour une région dont le dynamisme du secteur privé lui à valu le titre de capitale économique dans les années 80. La situation est d’autant plus préoccupante que la région de Maradi consacre à elle seule un peu plus du quart de la population pauvre du Niger. En outre, la population de la région est essentiellement jeune. 53,9% de la population de la region a moins de 15 ans. Ainsi, il se pose clairement la problématique de l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement dans la region de Maradi. Le défit et l’enjeu sont importants et requièrent une identification des contraintes majeures, leurs causes et leurs conséquences, afin de leur apporter des solutions idoines à travers une planification et la mise en oeuvre de l’action prioritaire ciblée. Dans son discours d’ouverture de la conférence, le Secrétaire général de la région de Maradi a dit que « cette conférence débat, a été pour les acteurs du développement de la région de Maradi, une opportunité de connaitre les déterminents de la pauvreté et les défis à relever pour booster son développement économique et social. »

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