• Rentrée scolaire 2010-2011 au second cycle du secondaire : 1076 élèves dont 322 filles à Tahoua

    Les vacances sont terminées pour les élèves des classes du second cycle du secondaire du Niger. En effet, au  niveau de la région de Tahoua, comme dans le reste du pays, les lycéens sont retournés dans les salles de classes le lundi 13 septembre.

    Depuis 2008, la date de la rentrée scolaire dans le second cycle du secondaire  est fixée  à  la mi-septembre, conformément aux autres pays de l'UEMOA. Pour s'enquérir du déroulement de cette rentrée dans la Communauté urbaine de Tahoua, le Gouverneur de la région, le Colonel Sani Issa Kaché, ses collaborateurs ainsi que les responsables régionaux en charge de l'éducation ont fait le déplacement du Lycée Agaba le lundi matin.

    A son arrivée dans cet établissement, le Gouverneur a été accueilli par le proviseur et le personnel. Le Colonel Sani Issa Kaché et la délégation qui l'accompagne ont ensuite visité les classes où ils ont procédé à la distribution des fournitures scolaires aux élèves. Le Gouverneur a saisi l'occasion pour souhaiter une bonne rentrée aux élèves, avant de leur prodiguer quelques conseils en leur demandant de se mettre au travail sans perdre de temps, et d'être surtout disciplinés.

    Pour ce premier jour, les élèves n'étaient pas nombreux dans les classes. Le lycée Agaba, le seul lycée public d'enseignement général de la communauté urbaine de Tahoua, compte cette année 1076 élèves dont 322 filles.  Du côté de la direction régionale des enseignements secondaire et supérieur, indique t-on, des mesures ont été prises pour assurer le démarrage des  activités académiques.

    Les fournitures scolaires ont été reparties et acheminées dans les différentes inspections et dans les établissements et les affectations et le redéploiement des enseignants ont été également effectués.

    Source :

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  • 8 septembre 2010

    Médecins Sans Frontières (MSF) et ses partenaires nigériens ont déjà pris en charge 77 000 enfants sévèrement malnutris au Niger cette année, et distribuent actuellement des suppléments alimentaires à environ 143 000 enfants en bas âge. Pour faire face à une crise nutritionnelle récurrente, des mesures préventives sont indispensables.

    MSF et ses partenaires nigériens ont déjà pris en charge 77 000 enfants sévèrement malnutris au Niger cette année, et distribuent actuellement des suppléments alimentaires à environ 143 000 enfants en bas âge. Pour faire face à une crise nutritionnelle récurrente, des mesures préventives sont indispensables.
    Distribution d'aliments supplémentaires prêts à l'emploi par MSF et Forsani - District de Madarounfa, région de Maradi, juillet 2010
    © Anthony Bourasseau / MSF

    Chaque année, les Nigériens les plus vulnérables sont confrontés à une crise nutritionnelle qui atteint son pic entre mai et septembre. En 2010, l'intensité de la crise est particulièrement inquiétante. Depuis le début de l'année, plus de 77 000 enfants atteints de malnutrition sévère ont déjà été admis dans les 69 centres nutritionnels soutenus par Médecins Sans Frontières (MSF) et ses partenaires FORSANI (Forum Santé Niger) et BEFEN (Bien-être de la Femme et de l'Enfant au Niger).

    A partir du mois de juillet, MSF a aussi démarré des distributions de suppléments alimentaires pour plus de 143 000 jeunes enfants afin d'éviter qu'ils ne sombrent dans la malnutrition. Pour faire face à la crise nutritionnelle récurrente que traverse le Niger, des mesures préventives adaptées sont primordiales.

    « Avec un nombre important d'enfants sévèrement malnutris nécessitant une prise en charge médicale, les structures de soins du ministère de la Santé sont surchargées. Ces enfants se trouvent souvent dans un état de santé critique, qui les expose à un risque accru de décès. Même dans les meilleures conditions de prise en charge, les taux de mortalité dans les programmes nutritionnels demeurent élevés, entre 3 et 4% », explique Patrick Barbier, chef de mission MSF au Niger. « C'est pourquoi il est fondamental de prévenir aussi la malnutrition ».

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  • Le prochain Café-Sahara aura lieu le mercredi 29 septembre à 20h30 comme d'habitude au Café des Arts, 36 rue Saint-Laurent à Grenoble.

    Titre
    Nomadisme et sédentarisation des Touaregs Kel Ewey de l'Aïr
    Intervenant : Laurent Gagnol

    Ne pas oublier de prévenir le Café des Arts (04 76 54 65 31) si vous souhaitez dîner sur place. Dans ce cas, le rendez-vous est à 19h30.

    Cette conference est organisée par :
    Thierry TILLET
    - Maître de Conférences en Préhistoire à l'Université Pierre Mendès France de Grenoble (Grenoble 2)
    - Docteur d'Etat en Préhistoire.

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    Le moringa, une demande forte, une offre insuffisante

    Le moringa c’est el maka en haoussa et windi boundou en djerma. En ce mois de septembre, il faut voir les véhicules chargés de sacs de feuilles de moringa pris d’assaut par les détaillantes sur les marchés de Niamey.

    Pourtant c’est la saison des pluies, la pleine saison de production. Il faut dire que les habitants de Niamey sont de très gros consommateurs de cette feuille riche en vitamines, fer et autres éléments minéraux, et aussi en protéines. Ils ont raison, car 100 grammes de feuilles fraîches de Moringa apportent autant de protéines qu’un œuf, autant de calcium qu’un grand verre de lait et autant de fer qu’un morceau de viande. Et 100 grammes de feuilles de moringa ce n’est pas beaucoup. Fin août 2010 un tas de feuille fraiche de moringa se vend à 400 F.CFA au petit marché de Niamey, un tas qui pèse… 2,5 kg environ. Cela en fait des œufs et des verres de lait !

    ...Lire la suite sur le site du RECA...

    Voir en ligne : http://www.reca-niger.org/spip.php?...

    Source :

     

    Culture

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  • mardi 07 septembre 2010
    Par Raliou Hamed-Assaleh

    A Agadez, dans le nord du Niger, après la sécheresse, d’importantes pluies sont tombées cette année et le pâturage est assez abondant, mais les éleveurs constatent que les herbes qui poussent sont coupées et vendues sur le marché. Ils s’inquiètent devant l’ampleur que prend cette activité qui laisse à leurs animaux des terres dépouillées sans pâturages.

     

    Source : RFI

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