• Programmation du Festival :

    Le groupe Nabil Baly Othmani jouera le 4 juillet sur la scéne du Festival "On dirait le Sud", à l'invitation de Diden , directeur du Théatre Ste Marie d'en Bas et organisateur de ce festival riche en rencontres et découvertes des musiques de la Méditerranée et de l'Afrique.

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    Le quartier Très-Cloîtres vibrera au rythme des musiques du Sud  en accueillant pour la 14ème édition le festival de musique On dirait le Sud, les 4 et 5 juillet.

      Une belle façon de clore la saison du Théâtre Sainte-Marie-d'en-Bas, au rythme du sud, en accueillant des musiques venant des pourtours de la Méditerranée et d'Afrique. Un rendez-vous annuel attaché à rechercher un dialogue entre les cultures et les communautés.

     

    Depuis l'année 2000, ce festival de musiques, gratuit et en plein air, au cœur du quartier Très-cloîtres, accueille du 4 au 5 juillet, à la fois des artistes étrangers et des artistes issus de l'émigration venus de l'Afrique et des bords de la Méditerranée.

    À l'affiche de cette 14ème édition, le blues touareg de Nabil OTHMANI, originaire de Djanet, à l'extrême sud algérien, Nabil est l'héritier du grand Baly OTHMANI, une légende dans la musique tamashek.

    Son père, célèbre pour avoir introduit le oud dans la musique touarègue, ce jeune musicien et ses compagnons pratiquent une musique alliant tradition et modernité avec le goût du partage et du mélange avec les autres.

    Également au programme, Emel MATHLOUTHI, qui compose, écrit et interprète ses chansons. Son style envoûtant allie délicatement les musiques du Maghreb et du Moyen-Orient avec des sons trip hop et électro. Elle apporte ainsi un rythme et un ton résolument inédit à la musique de son pays, la Tunisie, et affirme le tempérament et les idées d'une jeunesse arabe en mouvement. Le titre de son album Kelmti Horra, "Ma parole est libre" est devenu le symbole de la révolution du printemps tunisien.

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  • Bunostegos akokanensis, le reptile fossile qui vivait dans un désert

    Au Permien, une partie du centre de la Pangée devait avoir son propre climat désertique. C’est ce que confirme la découverte d’un nouveau reptile pareiasaure dans le nord du Niger. En effet, Bunostegos akokanensis, dont le crâne était couvert de protubérances osseuses, appartenait probablement à la faune endémique de cette région.

    À partir des trois crânes trouvés au nord du Niger, Marc Boulay a su restituer l'apparence probable du reptile Bunostegos akokanensis. Ce pareiasaure a vécu voilà plus de 250 millions d'années. © Tsuji et al., Journal of Vertebrate Paleontology, 2013

    Entre 300 et 200 millions d’années avant notre ère, la Terre ne possédait qu’un seul supercontinent : la Pangée. Il rassemblait approximativement toutes les terres émergées connues à ce jour. L’Eurasie et l’Australie se situaient respectivement à ses extrémités nord et sud, tandis que son centre était en partie occupé par l’Afrique. À cause de cette morphologie, des restes fossiles appartenant à une même espèce animale de l’époque peuvent actuellement être trouvés sur différents continents.

    La découverte d’une nouvelle espèce de reptiles dans la formation géologique de Moradi (Permien supérieur), au nord du Niger, vient cependant de montrer que certaines espèces étaient endémiques à des régions précises de la Pangée. Elle confirme également une hypothèse avancée par la communauté scientifique : le centre du supercontinent abritait un désert extrêmement sec, et climatiquement isolé des autres régions. Cette affirmation mérite quelques explications.

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  • Niger: la porte du désert, Agadez, entre au patrimoine mondial de l’humanité

    Un vendeur d’objets artisanaux, devant la grande mosquée d’Agadez, le 24 septembre dernier. Le minaret exceptionnel en adobe est l’un des sites architecturaux les plus remarquables du Niger.
    Un vendeur d’objets artisanaux, devant la grande mosquée d’Agadez, le 24 septembre dernier. Le minaret exceptionnel en adobe est l’un des sites architecturaux les plus remarquables du Niger.
    AFP PHOTO / ISSOUF SANOGO
    Par RFI

    L'Unesco, réunie en session annuelle au Cambodge depuis dimanche 16 juin, a inscrit le centre historique d'Agadez, au Niger, sur la liste du patrimoine mondial, ce samedi 22 juin. C'est la première fois que ce label est conféré à un site culturel nigérien. Seuls deux sites naturels du pays avaient jusque-là rejoint la prestigieuse liste.

    Avec notre correspondante à Phnom Penh, Stéphanie Gee

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  • Enchantons nos oreilles ce vendredi soir

    sur le podium Musiques du Monde !!

    Si vous ne connaissez pas encore Nabil et ses musiciens,

    c'est le jour pour venir les découvrir

    Programme du podium Scène Musiques du Monde
    Parc Mistral (Anneau de vitesse – Association Dynamusic)

    - 19h30 : Ouemed danse
    - 20h30 : Akousty roots
    - 21h30 : Nabil Baly Othmani
    - 22h30 : Ke Onda
    - 23h30 : Defroast
    - 00h30 : Spock Marlone Section

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    Retouvez le programme de la fête ici

    et un petit article dans GreNews

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  • Parmi les ethnies que comptent le Niger, les Haussas sont les plus nombreux.

    Bien que le français soit la langue officielle du Niger, connaitre les langues nationales est très important dans la vie quotidienne, surtout pour faire vos courses au marché entre autre exemple.

    En plus, même si votre accent reste déplorable, les gens apprécient beaucoup les efforts que l'on fait pour comprendre leur culture...

    Petites leçons de Haussa

     

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