• L'équipe de Tedhil se met en mode "light" pendant quelque temps.

    Nous serons sur le terrain au Niger, il nous sera donc difficile d'alimenter le blog.

    Nous vous invitons à consulter nos archives, ainsi que la rubrique "liens" pour accéder aux infos nigériennes.

    Nous vous donnons rendez-vous à la mi-novembre avec des nouvelles fraiches du village de Tajaé : rentrée scolaire, campagne agricole 2011, actions menées par l'association ...

    Merci à vous tous et à très bientôt

    Tanimert...Ar assaghat

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  • Le Premier ministre du Niger se trouve actuellement dans les Côtes-d'Armor dans le cadre de rencontres sur la coopération décentralisée. Il s'est engagé, hier, à assurer la sécurité des coopérateurs et des touristes.

     

     

    «Venez donc nous voir au Niger!». C'est, en très raccourci, l'invitation que le Premier ministre de ce pays a lancée hier, depuis Saint-Brieuc, aux Costarmoricains et aux Français dans leur ensemble. «Quelles garanties de sécurité donnez-vous aux visiteurs?», a questionné un journaliste africain. «La sécurité, nous en faisons notre affaire. Même s'il y a eu au Niger des événements fâcheux (*), ce n'est pas une raison pour isoler notre pays et le tenir à l'écart des flux touristiques. Dans ces affaires, nous sommes les victimes de tensions et de trafics issus d'états voisins. Faites-nous confiance et surtout aidez-nous. Nous avons besoin du soutien de la communauté internationale pour maîtriser la situation sécuritaire...»

    Coopération. Le Niger s'engage sur la sécurité

    Charles Josselin, ancien ministre de la Coopération, Claudy Lebreton, président du conseil général, et Brigi Rafini, Premier ministre du Niger, travaillent, en ce moment à Saint-Brieuc, à renforcer la coopération entre la France et ce pays africain. Photo R.V.

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  • Souleymane Lamine 23/09/2011

     

    La rentrée scolaire au niveau du cycle de base 1, désormais élargi aux collèges d’enseignement général, a été officiellement fixée à la date de 3 octobre prochain. A ce jour, tout indique que cette rentrée scolaire restera au stade d’annonce, car de nombreux problèmes restent sans solutions. On peut citer, la question d’affection des enseignants qui n’est toujours pas réglée. Environ 3900 enseignants de l’école primaire ont récemment été recrutés. Mais ces derniers attendent d’être fixés.


    Il y a en outre la question de la construction des classes en paillote qui, à ce jour, n’a pas connu un début de solution. Habituellement, c’est à la fin de chaque hivernage que les autorités s’attellent à remplacer ces classes de fortune dans plusieurs établissements scolaires. Ce qui est quasi impossible à la date d’aujourd’hui, en raison des  précipitations qui continuent d’être enregistrées dans plusieurs contrées du pays. Il est à indiquer en outre que beaucoup de réformes ont été instituées sous les auspices des nouvelles autorités du pays. Mais de plus en plus ces autorités se rendent compte que dans la pratique ces réformes sont en train de susciter d’autres problèmes.

    A plus de ces problèmes, vient se greffer la question de la gratuité de l’école très complexe née du discours politique du Président de la République qui a pris l’engagement de rendre l’école obligatoire et gratuite jusqu’à l’âge de 16 ans. Dans beaucoup d'établissements scolaires et même dans la haute sphère de l’éducation nationale, on est incapable de donner un contenu à ce Programme du Président de la République.

    Quel contenu faut-il donner à ce discours politique  ? Comment ce programme instituant l’obligatoire jusqu’à l’âge de 16 ans se met-il en marche ? Que faut-il entendre par ce nouveau système d’école obligatoire ? Voilà autant de questions qui restent sans solutions en cette veille de la rentrée scolaire 2011-2012.

    En tout cas ce programme a fait régner une véritable confusion dans plusieurs milieux, proches de l’école nigérienne. Enseignants comme parents d’élèves se demandent si au gré de ce nouveau système, les élèves qui n’ont pas l’âge de 16 ans ne seront plus exclus de l’école pour insuffisance de travail.

    En attendant que le programme du Président de la République ait un contenu qui ne souffre d’aucune ambiguïté, les chefs d’établissements scolaires relevant du ressort de Niamey, ont travaillé sur la base de l’ancien texte en matière de passage-redoublement-exclusion. Les parents d’élèves se sont dits surpris de voir leurs enfants âgés de moins de 16 ans expulsés de l’école pour insuffisance de travail. Beaucoup de responsables d’établissements publics, attendent qu’un ordre écrit, venant d’en haut, leur soit adressé. Faute de quoi, ils resteront toujours collés à l’ancien texte qui régit le système d’évaluation. Ce qui est du reste tout à fait normal.

    Source : Média Niger

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    Agadez_NigerAgadez, le siège du sultanat et de la Grande Mosquée célèbre, est un centre culturel prédominant dans le nord du pays. Elle est également la plus importante ville touristique de notre pays. C’est le point de départ des voyages dans le massif montagneux de l’Aïr à travers le Ténéré pour Bilma, et une ville étape où s’arrêtent les touristes en partance pour le Sahara. Première grande ville après ou avant la traversée du Sahara, elle  est située à la porte de l’impressionnante montagne de l’Aïr. Aussi, avec l’installation des industries minières et la construction de la route Tahoua-Arlit (RTA), la ville a gagné de l’importance en termes de diversités d’activités économiques qu’une rébellion armée a détruites en toute irresponsabilité. Pendant des années, autorités régionales et nationales se sont interrogées sur la manière de savoir comment s’extirper de cette situation.  Progressivement la ville est devenue un centre administratif, commercial et de prestations de services, à telle enseigne que sa population a augmenté. Cette croissance de la population est due  essentiellement à l’afflux des populations venant du sud. Si, selon un document, la cité ne comptait que  4000 habitants en 1950, et 5000 en 1960 soit dix ans après, le nombre d’habitants a doublé à la suite de la sécheresse et a atteint 20.000 personnes à la fin des années 1970 avec l’extraction de l’uranium. Ainsi, au milieu des années 1980, elle comptait déjà 35000 habitants. Et selon les résultats du recensement 2001,  la population de la ville d’Agadez est de 110 000 habitants. Il va de soi qu’une telle explosion démographique entraîne de nombreux problèmes sociaux, surtout dans le domaine de l’aménagement, étant donné la nécessité des terrains à bâtir en quantité suffisante, car la structure et la base économique de la ville changent. Des secteurs tels que le commerce, les transports ainsi que les services publics et privés enregistrent des taux de croissance particulièrement élevée auxquels viennent s’ajouter d’autres activités économiques des secteurs organisés ou informels. En fait, il convient de savoir exactement que le développement économique de la ville a connu une certaine intensification par l’aménagement des axes routiers internationaux à travers le Sahara par Agadez, vers Tahoua-Niamey et vers Zinder-Kano. Il faut souligner que les perspectives économiques sont bonnes pour cette région et selon le document, la structure de l’économie de la région et de sa population est plus équilibrée que celle des villes de l’uranium.   En effet, l’emplacement de la ville, qui se situe au carrefour de deux routes d’importance capitale, renforce sa position de centre commercial et des affaires. Elle dispose d’importants atouts, car le prestige de la ville, la mosquée et la vieille ville conservent encore leurs attraits touristiques. 

     

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    Agricole_Campagne_11_12La campagne agricole 2011-2012 se déroule, au Niger dans un contexte assez particulier. Les aléas climatiques, l’irrégularité  et la mauvaise répartition des pluies, les attaques des ennemis de cultures, sont entrain d’anéantir dans certaines régions du pays, les efforts des producteurs et du gouvernement. Ainsi, plusieurs provinces du pays ont soient fait leurs semis en retard ou entendent la poursuite de la tombée des pluies pour voir mûrir leurs plantes, alors que la saison hivernale tend vers sa fin. Des séances des prières ajoutées aux mesures urgentes et préventives prises par les autorités nationales vont –elle éviter à notre pays un autre cycle de crise alimentaire ?

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