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    Le Niger fait face à une famine causée par la sécheresse.

    Après les mauvaises récoltes de 2009, le pays est frappé par une nouvelle crise alimentaire. Chris Stewart, fondateur du groupe Genesis et grand voyageur, lance un cri d’alarme.




    Nous quittons la ville de Téra et commençons à traverser une savane poussiéreuse dont la monotonie est parfois rompue par les huttes traditionnelles des villages. Le sable, la poussière blanche balayée par le vent et une végétation en quelque sorte momifiée par la sécheresse composent le paysage que nous traversons. Cette province située à environ quatre heures au nord-ouest de Niamey, la capitale du Niger, est l’une des régions les plus démunies de ce pays déjà très pauvre. En 2009, la saison des pluies n’a pas été suffisante. A Tillabéri, la pluie n’est pas venue du tout. Les gens d’ici n’ont rien à manger.

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  • Plus de la moitié de la population du Niger, et son cheptel avec, est menacée par une famine consécutive à la sécheresse, qui a gravement altéré les récoltes la campagne agricole écoulée. L’Organisation des Nations unies estime à 7 millions les Nigériens qui sont touchés par cette pénurie alimentaire.

     

    C’est dire que cette crise alimentaire est aujourd’hui on ne peut plus alarmante. Et en pareille circonstance, ce sont les enfants de familles démunies qui sont les premières victimes.

    Selon certaines sources, on en enregistre plus de 450 000 présentement menacés par cette famine. Telle est la situation qui prévaut au Niger, et que le colonel Mamadou Tandja, quand il était aux affaires, n’a pas voulu admettre.

    Alors que les ONG déclaraient que les greniers étaient vides, celui-ci clamait haut et fort, comme s’il résidait sur une contrée autre que le Niger, que les silos craquaient de grains avec un excédent de dizaines de milliers de tonnes.

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  • Culture
    Depuis 1969, notre pays dispose d’une société de fabrication de pagnes. Sonitextile à ses débuts, Enitex depuis la reprise par les nouveaux actionnaires en 1997, cette entreprise de textile ne voit pas les Nigériennes et les Nigériens se ruer vers les pagnes qu’elles fabriquent. Et pourtant, une entreprise nigérienne de textile met sur le marché des produits de qualité souvent meilleurs que les  pagnes importés.

    L’entreprise nigérienne de textile confectionne quatre (4) gammes de produits textiles de meilleure qualité dont notamment le Fancy, la Guinée (tissu noir avec lequel les touareg font leur turban), le fil (avec lequel on fait le tissage traditionnel) et la teinture (les tissus avec lesquels on fabrique les uniformes et autres). Chaque année, l’usine produit près de 10 millions de mètres de pagnes. Selon le directeur commercial de l’Enitex, Elh Kanta Yahaya, les opérateurs économiques et autres commerçants nigériens étaient très actifs dans la commercialisation des produits Enitex, au début de la création de l’entreprise. « Mais il se trouve qu’aujourd’hui par la force des choses, nous n’avons pas de clients proprement en dehors des institutions, des ONG, des syndicats et des associations. Nous n’avons plus de contact avec les commerçants nigériens», a précisé Elh Kanta Yahaya.

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  • Culture
    Dans notre édition de la semaine dernière, nous avons effleuré le sujet en parlant des dépenses ostentatoires, lors des cérémonies dans la Communauté urbaine de Niamey et même dans les autres grandes villes de notre pays. Pire, la tentation a déjà atteint les campagnes du pays où les uniformes de mariage, l’argent de ceci et de cela font grincer les dents aux familles des jeunes mariés.

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  • Brèves : Niger
    Face à la pénurie alimentaire qui s’abat sur le Niger, de nombreux habitants sont obligés de manger des Lézards appelés "bo", et des feuilles notamment de l’arbre Tatola, rapporte ce lundi la BBC. « Nous les faisons bouillir et nous ajoutons un peu de sel, puis nous les mélangeons avec des coques de millet, seuls aliments qu’il nous reste », explique une jeune femme Nigérienne. En 2005, le pays avait été confronté à une famine qui avait coûté la vie à plus de 100 000 personnes.

    Source : afrik.com
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